En suivant le festival de Cannes lors de l'émission Le Grand Journal sur Canal +, j'ai découvert une agréable chanson en générique de fin de la dite émission. Sobrement intitulé Cannes, cette chanson est interprété par Barbara Carlotti. Sa voix a le meme timbre qu'une autre Barbara, la célèbre interprète de L'Aigle noir. La musique a un coté pop électro très proche de du groupe frenchy Air. Cannes (la chanson) est glamour et portée d'élégance.
J’ai reçu une lettre Il y a un mois peut être Arrivée par erreur Maladresse de facteur Aspergée de parfum Rouge à lèvre carmin J’aurais dû cette lettre Ne pas l'ouvrir peut être
Mais moi je suis un homme Qui aime bien ce genre d'enjeu Je veux bien qu'elle me nomme Alphonse ou Fred c'est comme elle veut C’est comme elle veut
Des jolies marguerites Sur le haut de ses "i" Des courbes manuscrites Comme dans les abbayes Quelques fautes d'orthographes Une légère dyslexie Et en guise de paraphe La petite blonde sexy
Et moi je suis un homme Qui aime bien ce genre de jeu Je n'aime pas les nones Et j'en suis tombé amoureux Amoureux
Elle écrit que dimanche Elle s'ra sur la falaise Où je l'ai prise par les hanches Et que dans l'hypothèse Où je n’aurais pas le tact D’assumer mes ébats Elle choisira l’impact 30 mètres plus bas
Et moi je suis un homme Qui aime bien ce genre d’enjeu Je ne veux pas qu’elle s’assomme Car j’en suis tombé amoureux Amoureux
Grâce au cachet de la poste D’une ville sur la manche J’étais à l’avant poste Au matin du dimanche L’endroit était desert Il faudra être patient Des blondes suicidaires Il n’y en a pas 100
Et moi je suis un homme Qui aime bien ce genre d’enjeu Je veux battre Newton Car j’en suis tombé amoureux Amoureux
Elle surplombait la Manche Quand je l’ai reconnue J’ai saisir par la manche Ma petite ingénue Qui ne l’était pas tant Au regard du profil Qu’un petit habitant Lui faisait sous le nombril
Et moi je suis un homme Qui aime bien ce genre d’enjeu Je veux bien qu’il me donne (Papa)… S’il le veut
Stéphanie n'veut plus
Jouer son coeur comme à la roulette
Quand la banque la plume
ça lui monte à la tête.
Pour aller pieds nus dans ses rêves
Il faut des siècles.
Et si l'amour la tue
ça l'empêche de mourir.
C'est peut-être toi
C'est peut-être toi
Qu'il lui faudrait.
C'est peut-être toi
C'est peut-être toi
Qu'il lui faudrait
Tu pourrais changer demain sa vie mais pas d'erreur
Car Stéphanie n'est pas une fille qui pleure.
Stéphanie fait des
Compils de garçons pour le futur,
Elle veut de l'action
Sans aucune blessure.
Pas de compte à rendre
Pour passer l'hiver à Prague.
Hauts les coeurs à fendre
Dans sa botte une dague.
J'irai ce soir à la gare Saint Lazare
Où toute ma vie je prendrai le train.
J'irai changer l'aiguille du hasard
Et Stéphanie me prendra la main.
Non, je n'achèterais pas le DVD de Emilie Simon parce que mon coeur et mes petites oreilles ne sont destinés qu'à l'album solo de Babet, membre du groupe Dionysos que j'affectionne beaucoup. Son CD tourne en boucle inlassablement chez moi depuis une semaine et c'est toujours autant de bonheur. Même le chat vagabond, qui traîne dans la résidence à la recherche d'un truc à chipper, a succombé aux charmes de Babet. D'ailleurs il a dit : "maou miou !!!". Tiens, tu vois.
Il y a 2 versions de l'album : une simple avec 15 titres et un double CD vendu plus cher, comprenant les versions accoustiques de certains titres avec une petite video de 8 minutes. La pochette est très jolie et illustrée par carte maritime, accompagnée par des images de constellations. La musique de l'album est très mélancolique et rappelle les derniers albums de Dionysos (monster in love) et de Louise Attaque (à plus tard crocodile). Les textes des chansons sont la plupart assez tristes mais toujours poétiques. Les versions accoustiques sont ecore plus belles. Pour un 1er album solo, c'est une vraie réussite.
J'ai découvert une bande dessinée étrange et surréaliste dans le magazine ultraculturel nommé Télépoche. C'est l'histoire d'une petite fille blonde (encore une) en pleine crise de puberté dont les seules centres d'intérêt sont les fringues et les garçons. Ah oui, chose très importante, son prénom (ou surnom) c'est Lou.
Lou est une petite fille qui ne connaît pas son papa, qui vit seule avec sa maman et le petit chat qu'elles ont adopté. Toutes les deux ont une grande complicité, elles jouent à la console, dînent dans des pizzerias... Lou est amoureuse de son voisin d'en face mais, bien sûr, n'ose pas lui avouer... C'est une petite fille très à la mode avec des dons de styliste. Sa meilleure copine s'appelle Mina, et ensemble elles partagent beaucoup de choses. Lou se dit aussi que Richard, qui vient d'emménager sur son palier, pourrait très bien plaire à sa mère. D'ailleurs, elle va se débrouiller pour les faire se rencontrer...Nouvelle série de Tchô ! la collec , Lou nous conte la vie d'une petite fille d'aujourd'hui, croquée avec énormément de tendresse, d'intelligence et de poésie... Une bande dessinée pleine de charme qui séduira autant les enfants et les adolescents que les adultes.
Dans la même collection que la BD Titeuf (Glénat), je reconnaît que la BD de Lou ! est sympa mais reste réservée à un public féminin, genre fille plutot énervante adorant écouter Emilie Simon et habitant le nord de la France...
Ce matin, en versant mon café dans mon mug préféré, j'ai découvert, comme qui dirait, une fuite quelque part. La pauvre tasse était fendu sur le coté. Mon mug était d'une couleur jaune, avec, en motif, une calculatrice, un canard et le prénom Chandler inscrit en noir. C'était un mug officiel de la série Friends que je possédais depuis 3 ans. Je l'avais obtenu avec un paquet de sachets de thé Lipton. Pas très friand à la base de thé, j'en ai acheté exprès pour obtenir coute que coute cet objet de culte. Mais voila, aujourd'hui, je lui ai versé son dernier café. Adieu, petit mug !
Jeanne Cherhal, dans la dernière émission de Tararata en tenue tres british, nous chante son dernier titre très féministe (c'est quoi des "lanternes" ?). Mais tant pis, j'adore quand même (j'ai une coquille).
C'est une histoire ancienne et pourtant c'est dans ma tête J'ai beau lui dire vas-t'en, elle reste là C'est un vieux souvenir un craquement d'allumette J'ai beau lui dire fous le quant, il bouge pas
REFRAIN : Voila,voila,voila,voila Si seulement dans ce qu'on est on pouvait faire un choix Seulement Voila x4 On peut pas
C'est comme une habitude, un peu comme une manie J'aime la solitude jusqu'a la tiranie Viens pas me déloger de ma carapasse quand j'iberne D'avance désolé pour mes coups dans tes lanternes
REFRAIN x 2
Le type ! J'aurai pu te l'écraser, j'aurai pu faire beaucoup mieux J'aurai pu le déphraser avec mes yeux dans ses yeux Arrière,arrière,arrière, arrière !!! Mais rien j'ai pas bougé il a eu ce qu'il voulait
Voila, voila,voila,voila,voila,voila
REFRAIN
Ca y est, c'est décidé, je vais tout décider Sans me faire envahir, sans me faire emmerder Je n'écoute que moi qui ne veux que mon bien Mais je parle si bas que finalement je n'entend rien
Si j'avais pu choisir entre moi et autre chose C'est un peu moche a dire mais j'aurais pris autre chose J'y pense asser souvnet et je commence a m'y faire Quand j'en aurait le temps(x5) je finirai même par me plaire
Après une vision troublante de Jeanne Cherhal, hier soir, lors de l'émission Tararata sur France 4, je me suis souvenu de cette chanson de cette petite brune : le petit voisin.
Le petit voisin par Jeanne Cherhal Album: Douze fois par an
Le petit voisin s'appelle Jocelyn avec un P avec un F comme dans Martine. Le petit voisin il a un grain, de sel ou bien de sable, ou bien de caféine. Le petit voisin habite au-dessus de chez nous qui, évidemment, sommes en-dessous. Il prend des cours de Ju-Jitsu mais n'est pas mauvais, n'est pas mauvais pour deux sous.
Et, dans tout l'immeuble, crado mais sympathique, on se chicane, on se cherche, on s'engueule gentiment. Mais le petit voisin, il est total stoïque.
Et d'ailleurs il s'en fout car il est étudiant.
Le petit voisin dans son T1 a des instruments assez rares et insolites. Des percus, un masque malien, des cendriers et des grigris de bakélite. Il souffle dans un bout de bambou, un didjeridoo de Pier Import, du Népal. Il joue à poser des embouts sur des bouteilles, puis il aspire et devient tout pâle.
Et, dans tout l'immeuble, crado mais acceptable, on se chicane, on se cherche, on s'engueule calmement. Mais le petit voisin, il s'assied à sa table et il se roule un stick car il est étudiant.
De temps en temps, le petit voisin, pour justifier sa bourse accordée par la fac, fait un saut hors de son T1 et intègre un amphi bondé comme un gros sac. Puis l'heure passée, il rentre au port non sans avoir fait un détour par chez Bubu. Une petite partie de Fighting Simulator, mais pas plus de quatre heures, il faut pas d'abus.
Et dans tout l'immeuble, crado mais bon, ça va, on se chicane, on se cherche, on signe des pétitions. Mais le petit voisin, en lisant des mangas, rêve à des jours meilleurs car il est étudiant.
Sur le macadam citoyen que l'on piétine quand on n'en peut plus de stagner, on voit passer le petit voisin: sous des bannières il se plait à revendiquer un peu plus de ci moins de ça. Un sitting au djembé devant la préfecture. Les causes perdues, les grands débats, on finit par tout faire flamber dans l'aventure!!
Et dans tout l'immeuble, crado et pas fini, on se chicane, on se cherche à s'en rendre malade. Et le petit voisin, dans le panier à salade, commence à regretter ses cinq ans et demi.
Et puis un jour, le petit voisin ira pointer quelque part pour bouffer un peu. Il s'ennuiera et sera loin le temps où il rêvait que demain serait mieux. Alors pour tromper l'amertume comme à dix-huit berges en criant que ça suffit, il arpentera le bitume. Rien ne changera mais au mois ça dégourdit.
Hier soir, j'ai encore regardé un film avec des zombies. Eh oui encore... Mais celui-ci est très drôle. Il se nomme Shaun of the dead et c'est un pur produit britannique. En fait, c'est la première comédie romantique avec des zombies. Ca faisait un moment que je voulais chopper le DVD. Et ca valait le coup (ou l'achat). L'humour british est très bon avec quelques scènes cultes comme celle du matraquage d'un zombie sur la musique Don't stop me now de Queen (voir vidéo ci dessous). Mais le film devient un peu gore vers la fin (ca m'a surpris meme).
À presque 30 ans, Shaun ne fait pas grand-chose de sa vie. Entre l'appart qu'il partage avec ses potes et le temps qu'il passe avec eux au pub, Liz, sa petite amie, n'a pas beaucoup de place. Elle qui voudrait que Shaun s'engage, ne supporte plus de le voir traîner. Excédée par ses vaines promesses et son incapacité à se consacrer un peu à leur couple, Liz décide de rompre. Shaun est décidé à tout réparer, et tant pis si les zombies déferlent sur Londres, tant pis si la ville devient un véritable enfer. Retranché dans son pub préféré, le temps est venu pour lui de montrer enfin de quoi il est capable...
Il y a meme le chanteur du groupe Coldplay qui joue un zombie, ainsi que son propre role, c'est a dire qu'il joue lui-meme (ca va, c'est pas trop dur).
Babet, membre du groupe Dionysos, va sortir bientôt un album solo. Il se nommera "Drôle d'oiseau" et sorira en février 2007. Retrouvez 2 titres sur son site Myspace :